Articles | Catégorie Confidentialité https://www.monprojetpme.fr/category/confidentialite/ Un accompagnement sur vos projets d'opérations financières Thu, 02 Feb 2023 17:04:19 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.monprojetpme.fr/wp-content/uploads/2022/09/cropped-FAVICON_MPP-32x32.png Articles | Catégorie Confidentialité https://www.monprojetpme.fr/category/confidentialite/ 32 32 Qu’est-ce que le pacte d’actionnaires ? https://www.monprojetpme.fr/qu-est-ce-que-le-pacte-d-actionnaires/ Mon, 09 Jan 2023 16:25:13 +0000 https://www.monprojetpme.fr/?p=8262 Le pacte d’actionnaires se définit comme un contrat qui permet d’organiser les rapports entre les associés d’une société. En règle générale, les relations entre les actionnaires sont régies dans les statuts de la société.

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Le pacte d’actionnaires se définit comme un contrat qui permet d’organiser les rapports entre les associés d’une société. En règle générale, les relations entre les actionnaires sont régies dans les statuts de la société. En opposition aux statuts qui sont publics, le pacte d’actionnaires est un contrat de droit privé entre les actionnaires signataires. Le principal intérêt du pacte d’actionnaires est de fixer des règles et de pouvoir les maintenir confidentielles.

Pourquoi rédiger un pacte d’actionnaires ? Quelles sont les principales clauses du pacte d’actionnaires ? Quelle est la durée du pacte d’actionnaires ? Que se passe-t-il en cas de non-respect du pacte par un associé ?

Qu’est-ce que le pacte d'actionnaires ?

Pourquoi rédiger un pacte d’actionnaires ?

Durant la vie de la société, des différends entre actionnaires peuvent mener à des litiges. Afin de prévenir des situations bloquantes, le pacte d’actionnaires permet aux associés de définir entre eux les règles du jeu et la façon dont leurs relations seront régies. Autrement dit, le pacte permet d’éviter aux associés de se retrouver dans une impasse au cours de la vie de la société.

Quelles sont les principales clauses du pacte d’actionnaires ?

Il existe principalement 4 types de clauses dans le pacte d’actionnaires :

  • Les clauses générales : clause de confidentialité, clause de non-concurrence, clause juridictionnelle, etc.
  • Les clauses relatives au droit de vote : elles ont vocation à organiser le droit de vote des associés au sein de la société. Elles peuvent prévoir par exemple la nécessité d’un accord unanime pour la prise de certaines décisions stratégiques, un droit de véto ou encore les modalités d’exercice d’un éventuel droit de vote double 
  • Les clauses relatives aux cessions de parts, avec par exemple : 
  1.  la clause de préemption (offrir aux autres actionnaires signataires la possibilité de racheter les actions prioritairement sur des tiers)
  2.  la clause d’agrément (permettre de contrôler l’entrée dans la société d’actionnaires nouveaux)
  3. la clause d’inaliénabilité (prévoir l’interdiction de revendre ses actions durant un délai prédéterminé)
  • Les clauses financières et de gestion courante de la société : ces clauses prévoient la répartition des bénéfices ou la souscription des parts de la société
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Quelle est la durée du pacte d’actionnaires ?

Le pacte d’actionnaires étant un contrat privé, il n’y a pas de contrainte de durée. Si le pacte est signé pour une durée indéterminée, il peut alors être résilié unilatéralement par l’un des associés. De façon générale et afin de se prémunir contre cette possibilité, les actionnaires signataires concluent un pacte pour une durée limitée dans le temps.

Que se passe-t-il en cas de non-respect du pacte par un associé ?

En principe, si un associé ne respecte pas une des dispositions du pacte, il s’expose à payer des dommages et intérêts aux signataires ayant subi un préjudice.

Dans certains cas et de manière exceptionnelle, l’inexécution du pacte peut être sanctionnée par l’exécution forcée, à savoir obliger l’associé à respecter son engagement.

Si une clause d’exclusion a été prévue dans le pacte, il peut être convenu d’exclure un associé en cas de violation de certaines obligations.

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Cyberattaques, un risque de plus en plus réel pour les PME https://www.monprojetpme.fr/cyberattaques-un-risque-de-plus-en-plus-reel-pour-les-pme/ Wed, 23 Nov 2022 10:23:08 +0000 https://www.monprojetpme.fr/?p=7525 Depuis de nombreuses années, les dirigeants de PME doivent faire face à une série de risques : la défaillance d’un client stratégique, un grave accident d’un salarié, les démissions de collaborateurs clefs, un manque de liquidités, etc…
Plus récemment, un nouveau risque est apparu au niveau de toutes les entreprises : les cyberattaques. A ce titre, les termes ne manquent pas pour qualifier ce nouveau fléau : cybercriminalité, cyber-rançonnage, cyber-espionnage, cyber-piratage, cyber-délinquance, etc…

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Depuis de nombreuses années, les dirigeants de PME doivent faire face à une série de risques : la défaillance d’un client stratégique, un grave accident d’un salarié, les démissions de collaborateurs clefs, un manque de liquidités, etc…

Plus récemment, un nouveau risque est apparu au niveau de toutes les entreprises : les cyberattaques. A ce titre, les termes ne manquent pas pour qualifier ce nouveau fléau : cybercriminalité, cyber-rançonnage, cyber-espionnage, cyber-piratage, cyber-délinquance, etc …

De la grande entreprise à la PME, les conséquences d’une cyberattaque sur l’exploitation peuvent être majeures et aller jusqu’à mettre en péril la poursuite de l’activité.  Il appartient donc au dirigeant de PME de prendre en compte avec beaucoup d’attention le risque cyber et de l’intégrer dans l’élaboration de la cartographie des risques de son entreprise (plan à réactualiser au minimum une fois par an).

Cyberattaques, un risque de plus en plus réel pour les PME

Les raisons de la vulnérabilité accrue des PME

Les PME sont des proies de plus en plus faciles pour des hackeurs. En effet, la plupart des PME ont souvent des systèmes de protection très insuffisants, le système se limitant à l’installation d’un simple antivirus et à un investissement à quelques centaines d’euros.  Les PME ne disposent que très rarement d’un responsable en charge de la cybersécurité. 

De plus, par nécessité opérationnelle les PME ont dû davantage s’ouvrir sur l’extérieur afin de rester connectés en permanence avec tous les acteurs de leur écosystème. Un facteur additionnel est le recours de plus en plus fréquent au travail à distance en place chez de nombreux collaborateurs. Ces deux éléments complexifient fortement la sécurisation des données et des systèmes informatiques.

Enfin, les hackeurs se dirigent vers les PME en procédant à des attaques malveillantes massives maximisant le nombre de cibles et en même en temps en limitant le risque d’échec par rapport à des grandes entreprises ou des institutions souvent mieux armées techniquement, financièrement et juridiquement pour se défendre.

Un risque en nette progression

En matière de cyberattaque, il faut rester prudent sur les chiffres dans la mesure où il n’existe aucune statistique précise officielle. 

Cependant, il faut souligner que selon le Cesin (Association regroupant les experts de la cyber), seulement la moitié des entreprises ayant subi une cyberattaque porterait plainte. Toujours selon le baromètre du Cesin, près de 54 % des entreprises françaises auraient fait l’objet d’une cyberattaque en 2021. Par ailleurs, l’Ansssi (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information) constate un développement exponentiel des demandes de rançons liées à des cyberattaques.   

En tout état de cause, le risque pour les PME est très significativement plus élevé qu’il y a dix ans. En conséquence, aucune entreprise, même de quelques salariés et réalisant un chiffre d’affaires de moins d’1 million d’euros, ne peut désormais occulter l’aggravation de cette situation. 

Différents niveaux de cyberattaques et des conséquences plus sévères

A l’origine, les cyberattaques affectant une PME ne concernaient qu’un nombre limité d’utilisateurs. A présent, les attaques sont de plus en plus sophistiquées et difficiles à détecter. Des adresses mail officielles peuvent être copiées, des messages comprenant des informations réelles de l’entreprise sont parfois détournées, des données sont cryptées au détriment des utilisateurs … Les pirates ne manquent pas d’imagination et de nouveaux moyens pour hacker une société.

De la simple malveillance gratuite au rançonnage sur des sommes importantes, ils existent différents niveaux de cyberattaques. Les conséquences peuvent être un simple blocage du système informatique et une perturbation temporaire de l’activité. Dans certains cas extrêmes, il peut conduire à une destruction totale des données si l’entreprise refuse de payer la rançon exigée en contrepartie de la clé de déchiffrement. La continuité de l’activité peut alors être en jeu, en particulier pour une PME qui ne dispose pas de ressources suffisantes pour redémarrer le système dans des délais courts ou pour récupérer les informations vitales à son activité (fichier client, données produit, informations financières, etc…).   

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Le premier levier de défense porte sur la formation des équipes

La clé d’entrée de la majorité des cyberattaques est une erreur humaine. C’est la raison pour laquelle la sensibilisation et la formation des collaborateurs sont essentielles dans une politique de cybersécurité.

Les mesures doivent porter notamment sur les points de vigilance suivants :

  • La gestion des mots de passe, avec des changements réguliers et si besoin des doubles codifications pour toute connexion externe
  • La formation sur les dangers d’hameçonnage (phishing) visant à infecter un ordinateur afin de répandre le virus dans toute l’entreprise. Plusieurs moyens intrusifs sont disponibles pour des hackers malintentionnés : des pièces jointes infectées, des codes à saisir sur un PC ou un smartphone, des propositions de faux support technique, etc… 
  • Les précautions à respecter en cas de connexion avec des supports externes : clés USB, …  
  • Le risque de chantage par l’intermédiaire de messages frauduleux.
  • Le piratage de la messagerie et l’utilisation usurpée d’une adresse de l’entreprise.

Cette liste est bien évidemment loin d’être exhaustive. L’essentiel est que ces formations soient régulières afin de diffuser des bonnes pratiques et de développer des réflexes de prudence chez tous les collaborateurs.

Le renforcement du système de sécurité 

Au-delà des antivirus « classiques » de sécurisation des transactions ou de détection du phishing, le système informatique doit être audité. La PME doit disposer d’un niveau de sécurité adapté à sa taille et à la complexité de son réseau. A titre d’exemple, la CPME, pour un PME d’1 million de chiffre d’affaires, recommande un budget de 6 000 euros la première année et 3 000 euros chaque année suivante. 

La mise à jour des logiciels en place dans l’entreprise est également un point sensible pour disposer des dernières versions intégrant les protections optimales. 

Par ailleurs, la sauvegarde régulière des données est un principe clé de la lutte contre les cyberattaques. Au-delà du stockage sur les serveurs en ligne de l’entreprise, il y a lieu de mettre en œuvre des sauvegardes externes sécurisées.   

En synthèse, le système informatique de toute PME doit être conçu dès l’origine et développé par la suite pour prendre en compte ce risque bien réel de cyberattaque. Des investissements au niveau système d’information sont indispensables pour minimiser le risque d’intrusion malveillante et de détérioration des données essentielles de l’entreprise.  Cette mesure préventive est un investissement « rentable ». 

Une solution avancée pour les PME, l’assurance contre le risque cyber

A date, seules 0,3 % des PME et 0,9 % des ETI françaises sont assurées contre les conséquences d’une cyberattaque, risque de perte d’exploitation et de rançonnage.  A titre de comparaison, près de 80 % des grands groupes sont couverts par une assurance.  

L’objectif des nouvelles dispositions législatives est de renforcer la sécurité des PME portant plainte à la suite d’une attaque informatique, tout en évitant une dérive du nombre de rançonnage. 

L’Etat cherche à aider les petites et moyennes entreprises en diffusant les bonnes pratiques. Le label ExpertCyber a ainsi été développé par Cybermalveillance.gouv.fr auquel tout dirigeant de PME peut d’adresser pour une demande d’aide.

Plus récemment, l’Administration propose des aides financières au service des PME afin de renforcer leur cybersécurité. Ces aides sont en particulier destinées aux petites entreprises agissant dans des secteurs sensibles.

En synthèse, la protection contre les cyberattaques est clé pour le dirigeant de PME qui veut préserver son patrimoine contre un risque d’arrêt partiel ou total d’activité.  Au-delà des critères classiques, la valorisation de son entreprise dépend de sa capacité à mettre en œuvre  une politique de prévention efficace.

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Est-il vraiment possible de vendre sa PME en toute confidentialité ? https://www.monprojetpme.fr/vendre-sa-pme-en-toute-confidentialite/ Wed, 05 Oct 2022 08:26:59 +0000 http://www.monprojetpme.fr/?p=5244 Pour un dirigeant de PME, décider de vendre son entreprise n’est pas sans risque et l’opération peut avoir un impact direct sur son activité.

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La cession de PME : une opération sensible

Pour un dirigeant, décider de vendre son entreprise n’est pas sans risque et l’opération peut avoir un impact direct sur son activité. L’opération nécessite des échanges d’informations sensibles avec les candidats acquéreurs et il est souvent difficile de garder confidentiel le projet de cession auprès de ses collaborateurs et de son écosystème (clients, fournisseurs, concurrents, etc.).

Céder sa PME en toute confidentialité

Comment l’information circule-t-elle ?

Un process de cession mobilise un nombre important d’intervenants externes (conseil financier, auditeurs, banques, avocats, etc.). Il est parfois difficile de contrôler l’information. Toutefois, le risque réside principalement dans les échanges avec les acquéreurs dont les intérêts peuvent diverger. Les candidats ont besoin d’un volume important d’informations (opérationnelles, financières, juridiques, etc.) pour se forger une conviction sur le dossier et poursuivre ou non l’étude du projet. Dans ce contexte, le vendeur doit être vigilant et s’assurer de l’intérêt réel des contreparties afin de ne pas avoir des candidats « trop curieux » cherchant uniquement à collecter de l’information.

Au sein de la société, dès la phase de préparation du process, certains signaux pourront « alerter » les collaborateurs. La présentation du projet nécessite par exemple l’accès à certaines ressources spécifiques (données historiques, juridique, etc.). Il est donc important de définir en amont une stratégie de communication claire et adaptée selon les situations (transparence, confidentialité limitée à certaines personnes, confidentialité totale).

Légalement, est-il possible de se protéger ?

En pratique, avant de transmettre des d’informations, le vendeur peut exiger la signature d’un engagement de confidentialité («non-disclosure agreement» ou «NDA»). Ce document rédigé par un avocat, doit permettre de limiter la diffusion et l’utilisation des informations. Le destinataire s’engage ainsi à respecter certaines règles, comme par exemple, ne pas utiliser les informations pour en tirer un avantage commercial, ne pas solliciter les salariés de l’entreprise, ne pas divulguer les documents à un tiers. Les clauses peuvent être nombreuses et devront être négociées en portant une attention particulière à la définition de la notion d’ « information confidentielle », au périmètre et à la durée d’application, et aux sanctions requises en cas de non-respect.

Cet accord doit tout de même laisser la flexibilité à l’acquéreur de réaliser ses travaux de diligence, et autoriser l’utilisation des documents par ses experts ou conseils tiers. En cas de violation de l’engagement, il est à la charge du vendeur de prouver le préjudice lié à la divulgation de l’information afin d’être dédommagé. Il est donc essentiel de mettre en place des solutions alternatives afin d’assurer la confidentialité du process et limiter les risques inhérents.

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Se faire accompagner pour limiter les risques de confidentialité ?

Pour vendre sa PME dans les meilleures conditions et ainsi limiter les risques de confidentialité à chaque étape du process, il est recommandé de se faire accompagner par un conseil financier (banque d’affaires). Voici quelques avantages :

  • organiser un process avec un nombre limité de candidats et s’assurer de leur motivation réelle dès la première approche, grâce à un profil anonymisé de la société (Teaser)
  • mettre en place un calendrier très rythmé afin de limiter la diffusion de l’information dans l’écosystème
  • utiliser une dataroom électronique pour le transfert de documents sensibles avec un accès limité à certains investisseurs. Cet outil permet par exemple de limiter l’accès de certains fichiers de manière nominative et restreindre l’accès à une consultation simple (interdiction d’impression, filigrane, etc.)
  • produire des documents de synthèse regroupant les informations essentielles
En conclusion, en dehors d’une transaction de gré à gré (discussion directe d’un dirigeant avec un repreneur), la confidentialité nécessite une vigilance particulière tout au long du process. Quelle que soit l’opération que vous envisagez, il est indispensable de choisir les bons partenaires afin de maximiser les chances de réussite de votre projet ! N’hésitez pas à venir nous en parler, nous aurons plaisir à répondre à vos questions.

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Pourquoi choisir de se faire accompagner dans la cession de sa PME ? https://www.monprojetpme.fr/pourquoi-choisir-de-se-faire-accompagner-dans-la-cession-de-sa-pme/ Fri, 30 Sep 2022 09:37:40 +0000 http://www.monprojetpme.fr/?p=5738 Pour accompagnement lors de son opération, le dirigeant cédant peut se tourner vers un spécialiste des transactions de PME : le conseil M&A.

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Lors d’une opération de cession de PME, le seul conseil externe nécessaire s’avère être un avocat spécialisé en droit des sociétés. Celui-ci aura la charge de mettre sur papier le résultat des négociations avancées entre le cédant et l’acquéreur. Bien qu’il puisse être de bon conseil tout au long de la transaction, il intervient principalement dans la dernière ligne droite du processus, dans la rédaction de la documentation juridique : le contrat de vente (ou SPA, Sales Purchase Agreement) et la GAP (Garantie d’Actif et de Passif).

S’il souhaite un accompagnement tout au long de son opération de cession, le dirigeant cédant pourra se tourner vers un spécialiste des transactions d’entreprises : le conseil M&A. Celui-ci est en charge de coordonner et de piloter le processus aux côtés du cédant sur l’ensemble de l’opération, depuis la définition du cahier des charges cible jusqu’au closing.

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Gagner du temps et se focaliser sur son activité

Céder sa PME peut s’avérer être un long chemin. Une opération dure en moyenne entre 6 mois et 1 an. De plus, les processus sont de plus en plus structurés et les attentes en termes de format demandent de respecter certaines règles. Tout cela réuni, le dirigeant peut rapidement se retrouver à devoir jongler entre le quotidien de son entreprise et sa cession. Gare aux répercussions négatives : une baisse de l’activité entraînant une baisse de la profitabilité, une mauvaise gestion de son BFR, la perte d’un client… Des conséquences qui pourraient se refléter dans le prix de cession.

Un conseil M&A accompagne le dirigeant cédant tout au long de son opération. Son rôle est d’organiser un processus personnalisé, en cadrant les différentes étapes dans un calendrier cible. Il sera en charge de collecter l’information et préparer les documents supports de la transaction comme le Mémorandum d’Information. Ce document, très complet devra donner une vision globale de l’activité de la société, présenter les résultats financiers et mettre en avant les considérations clés d’investissement tout en préservant la confidentialité des données sensibles.

Le conseil fluidifie la transaction en épargnant au dirigeant du temps d’exécution. Ce dernier reste bien évidemment au cœur de l’opération, il garde le pouvoir décisionnel à chaque étape. Mais le conseil M&A permettra au dirigeant de se concentrer sur l’essentiel : gérer et développer sa PME.

S’assurer du meilleur résultat

En organisant la compétition entre les acquéreurs potentiels, le dirigeant maximisera ses chances d’obtenir une survaleur grâce à cette mise en concurrence.

En s’entourant d’un conseil M&A, il dispose d’un intermédiaire qui sera en charge de la gestion des candidats : rencontres, séances de questions/réponses, transmission de documents supplémentaires. Le conseil s’assurera d’une parfaite coordination entre les intervenants et d’une maitrise du calendrier afin de maintenir la compétition entre les contreparties.

Dans un contexte pouvant parfois être tendu, il est nécessaire de pouvoir gérer ses émotions et de garder la tête froide à chacune des étapes du processus, mettre l’affect de côté : le conseil M&A défend les intérêts du cédant, limitant l’exposition de ce dernier au contact direct avec les acquéreurs potentiels.

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Préserver l’attractivité de sa PME

Durant la phase de préparation de l’opération, le conseil aide le dirigeant cédant à sélectionner une liste pertinente mais limitée d’investisseurs. La liste comportera des industriels (et des fonds d’investissement, le cas échéant) avec lesquels le dirigeant se sentira à l’aise pour transmettre des informations sur sa société.

Contacter ces candidats sélectionnés, sans connaître leurs intentions et leur politique d’investissement, pourrait néanmoins être dommageable à l’opération. Le conseil M&A validera en amont et de manière confidentielle l’appétence des acquéreurs potentiels pour le secteur et le marché, avant de poursuivre les discussions. Tout cela dans le but de garder dans le processus uniquement les candidats les plus motivés, et de fait préserver l’attractivité de la PME.

Quelle que soit l’opération que vous envisagez, il est indispensable de choisir les bons partenaires afin de maximiser les chances de réussite de votre projet !

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